atamata
antoine fernandez
TEXTES
"du symbole au grain de sable"
format A4 et pdf
Images et Symboles : Géographies 
Un essai combinant la théorie des ensembles, l’analyse fonctionnelle, l’analyse organique, l’analyse des mythologies comparées et le concept analytique comme postulat. 
(32 pages 1993 - 1998 - 2015)
format A5 et pdf
Entsa 
Récit romanesque où vers la fin du XVIème  siècle, un conquistador, un moine, deux soldats et une mule parcourent une petite partie de l’Amazonie, un endroit bien particulier, là où naissent les rivières et autres petits mystères. Juste un prétexte pour développer le thème récurrent du voyage initiatique. 
(230 pages - 2000 )
format A5 et pdf
Souris-moi ! 
Mon auto-analyse ; l’écriture, ici, servant de révélateur, de curseur, une drôle de manière de se jouer du temps, une légère syncope pour certains, pour d’autres ; un petit vaisseau laissé aux vents de l’émotion. 
(348 pages - 2004)
format A5 et pdf
Cinq grains de sable 
Le voyage avec un grand V ; une suite de petits contes, de petites rencontres, comme celle d’un petit caillou et d’un voile de vapeur. De Socrate à Hawking, quelques illustres personnages y croisent une tortue, une curieuse promenade qui nous entraîne là où dansent les étoiles. 
(134 pages - 2005)

Tell me if we can regulate the climatic factors without removing the tax heavens, following the logic of the System Dynamics and Least Action Principle

Dime si podemos regular los factores climáticos sin eliminar los paraísos fiscales, siguiendo la lógica de la Dinámica de Sistemas y el Principio de Mínima Acción.

Dites-moi si nous pouvons réguler les facteurs climatiques sans supprimer les paradis fiscaux, en suivant la logique de la Dynamique des Systèmes et du Principe de Moindre Action
 
illustration en anglais, espagnol et français 
(4 pages – 2018/2021)

Postulate : Can we consider money and financial products as energy, fuel, raw material? therefore a capital resulting from a "know-how", and to be qualified as “synthetic stock” conditioned to the laws of physics. This allows it to be part of a temporal flow; supply (stock) and demand or needs (flow), so we can apply System Dynamics and the Least Action Principle.

Considering that a financial quantity is not a physical quantity as such, but the product of an interpretation of quantified values resulting from know-how, and which can be combined as a share of a physical quantity, just like a simple speculation of standardized values produced by a frame of reference, itself standardized by an inertial loop, therefore speculative due to its essence, because whoever formulates the frame of reference implicitly formulates the rate of return, and therefore the value of a summary and non-physical quantity.

Quantifying a mass remains within the realm of probability, and following the principle adopted, we can add an energy to it and therefore a movement, itself conditioned by time. A singular piece of data whose correlation offers us a reading that can fit into The Principle of Least Action, itself correlated to Systems Dynamics.


Postulado : ¿Podemos considerar el dinero y los productos financieros como energía, combustible, materia prima? por tanto, un capital resultante de un “saber hacer” y ser calificado como "stock sintético" condicionado por las leyes de la física. Esto le permite ser parte de un flujo temporal; oferta (stock) y demanda o necesidades (flujo), por lo que podemos aplicar la Dinámica de Sistemas y el Principio de Mínima Acción.

Considerando que una cantidad financiera no es una cantidad física como tal, sino el producto de una interpretación de valores cuantificados resultantes de un saber-hacer, y que pueden combinarse como parte de una cantidad física, como una simple especulación de valores estandarizados producidos por un marco de referencia, a su vez estandarizado por un bucle inercial, por lo tanto especulativo por su esencia, porque quien formula el marco de referencia formula implícitamente la tasa de rendimiento, y por lo tanto el valor de una cantidad sumaria y no física.

Cuantificar una masa queda dentro del ámbito de la probabilidad y, siguiendo el principio adoptado, podemos añadirle una energía y, por tanto, un movimiento, a su vez condicionado por el tiempo. Un dato singular cuya correlación nos ofrece una lectura que puede incluirse en El Principio de Mínima Acción, a su vez correlacionado con la Dinámica de Sistemas.


Postulat : Peut-on considérer l’argent et les produits financiers comme une énergie, un carburant, une matière première? donc un capital issu d’un "savoir faire", et être qualifié de "stock de synthèse" conditionné aux lois de la physique. Ceci permettant de l’inscrire dans un flux temporel ; l’offre (le stock) et la demande ou les besoins (le flux), ainsi nous pouvons appliquer la Dynamique des Systèmes et le Principe de Moindre Action.

En considérant qu’une quantité financière n’est pas une quantité physique en tant que telle, mais le produit d’une interprétation de valeurs quantifiés issues d’un savoir faire, et pouvant être adossés en quote-part d’une quantité physique, tout comme une simple spéculation de valeurs normées produites par un référentiel, lui même normé par une boucle inertielle, donc spéculative du fait de son essence, car qui formule le référentiel formule implicitement le taux de rendement, et de ce fait la valeur d’une quantité sommaire, et non physique.

Quantifier une masse reste du domaine du probable, et suivant le principe retenu on peut lui adjoindre une énergie et par ce fait un mouvement, lui même conditionné dans le temps. Une donnée singulière dont la corrélation nous propose une lecture pouvant s’inscrire dans Le Principe de Moindre Action, lui même corrélé à la Dynamique des Systèmes.

A.F. Mise à jour le 01/10/2023

Un autre détail d’importance à considérer, le TRE (Taux de Retour Énergétique), ou en anglais : EROEI (Energy Returned On Energy Invested), ou EROI (Energy Return On Investment), c’est à dire que si on considère un capital, donc une masse financière comme un stock, ce dernier peut être soumis à la loi de conservation selon les principes de la physique, car le fait même de garder en stock une masse quelconque, engendre un coût en ce monde bien nommé ; celui de la finance… Ce qui tendrait à dire que, pour conserver une certaine masse il est nécessaire de l’augmenter sans cesse, ne serait-ce que pour en préserver sa valeur ou sa quantité initiale, c’est à dire anticiper la perte énergétique. En d’autres mots, il faut dégager une marge, donc créer un flux, une demande, un besoin, et tout au bout de cette logique ; de la dette… Bienvenue dans le monde merveilleux de la finance spéculative… de la croissance jusqu’à la fin des temps… Ha ! J’oubliais, quelle heure est-il ? 
 
A.F. Mise à jour le 02/11/2023

De quelques notions du temps 
 
Comment consentir au dialogue, c’est à dire d’être à l’écoute, car du dialogue intérieur à celui de l’autre il est nécessaire d’adopter un point de vue qui s’adapte aux prismes de chacun, et où chacun mesure la distance qui le sépare de la chose à traiter. La distance, ici, est la notion même du temps, donc de l’espace qui se veut immédiat. Chacun connaît la relativité de la chose, que le point de vue de l’un diffère de celui de l’autre. Ne devrions nous pas ajouter, à la mesure du regard, une mesure du temps ? Ce qui rendrait possible qu’à la question ainsi posée, la complexité y conjugue toutes formes, tout en y permettant d’en simplifier une d’elles. 
 
Prenons l’exemple du personnage regardant passer un train, au travers d’une fenêtre d’un des wagons, il y voit un passager consultant l’heure à sa montre, puis relevant ses yeux tout en se déplaçant dans le sens du train, ce voyageur aperçoit la personne sur le quai de la gare. Donc, dans ce jeu de miroir, quel moment retenir pour représenter l’instant présent ; celui du regard de la personne sur le quai, ou celui du passager du train ? Il va de soit que connaître la vitesse du train serait une variable d’importance, mais ne resterait-elle pas conditionnée par celle de la lumière éclairant l’espace, et de quelques notions du temps ? 
 
Pouvons-nous de nouveau simplifier cette question, en multipliant le nombre de personnes sur le quai de la gare, et même en multipliant les gares, tout en conservant un seul passager dans le wagon du train ? Est-il possible maintenant que les spectateurs de ce voyageur nous donne la mesure du temps propre à son espace relatif ? Ceci soulève sans doute une autre question, celle de la distance qui sépare chacun des spectateurs du passager du train. 
 
Pour comprendre la chose, prenons un petit peu de recul, de la sorte nous augmentons la distance qui nous sépare du point que nous voulions mesurer. Reculons encore de quelques pas, et même changeons d’échelle de grandeur, tout en restant au bord de notre galaxie, et remplaçons notre voyageur par un petit point lumineux, par exemple un soleil. Imaginez chaque spectateur à la jonction d’un point comme satellite et de plus de multiplier les soleils, et ainsi de suite jusqu’à atteindre la limite de l’espace connu, donc du temps. Ne vous avais-je pas dit de qualifier la chose, de quelques notions du temps. 
 
Maintenant, serait-il possible de mesurer un de nos pas dans cette immensité, pour cela il faudrait sans doute se rapprocher de nouveau de la terre. La gravité aidant il semblerait qu’une accélération y dilate la mesure, donc le temps. De toutes les mesures il en est une qui retient mon attention, celle qui projette l’infiniment petit dans l’infiniment grand, ou alors l’infiniment grand dans l’infiniment petit. Vous voyez, où le regard se pose, notre point de vue nous présente la chose ; de quelques notions du temps.

À présent, du passé au futur, un lien unique fait que la chose soit, donc existe. Il en est ainsi, la chose qui a été ou sera ne prend forme qu’au présent. Encore une fois, pour désigner toute chose, il est bon de l’inscrire dans le temps, car ce qui fut ou sera se définit dans l’espace énoncé au présent, ne serait-ce que pour en avoir conscience.
 
 A.F. le 15/11/2021
Au sujet du temps
 
Sujet physique insaisissable mesurant un je ne sais quoi, qui fait de cette mesure une variable dont le contenu en identifie le contenant ; le temps. À nos yeux, la courbure de l’horizon, pour le reste, chacun est à même d’y ajouter un un (1), car y soustraire l’unité nous entraînerait sans doute dans une autre dimension, ou tout simplement vers une incommensurable inconnue... 
 
A.F. le 21/05/22 
DESSINS
Ma petite collection de fous - 1992 
Une autre manière de jouer aux échecs. Juste une plume et quelques crayons de couleurs 
Pour le reste… à chacun son dessin
MUSIQUES
illustrations musicales
Je sais que les mathématiques ne remplaceront jamais un instrument de musique, ni une ou un interprète, mais le langage midi me permet de me jouer des silences.
Toute la musique, proposée ici, n’est l’œuvre que de mathématiques, mon instrument, mon petit ordinateur.
(Logiciel d’édition guitar pro 4 et 5, banque son principale GM Cadenza, plus autres)  2006/2016

Musicales 1
(4:11 minutes)
flûte, voix, harpe et guitare électrique
(9:53 minutes)
en écoutant le fossile de S. Hawking
(5:05 minutes)
une guitare électrique pour nobody
(3:09 minutes)
shakuhachi, koto, voix, vibraphone, violon alto et un léger parfum d'Asie
(2:00 minutes)
en hommage à Léo Ferré
(4:47 minutes)
violon alto et violoncelle
(2:19 minutes)
vibraphone, flûte, violon alto et un battement de cœur 
Musicales 2
(3:37 minutes)
(3:21 minutes)
(3:18 minutes)
(2:19 minutes)
(4:39 minutes)
(3:07 minutes)
(2:53 minutes)
(3:07 minutes)
(3:38 minutes)
(3:43 minutes)
(5:29 minutes)
(3:35 minutes)
(3:00 minutes)
(3:59 minutes)
(3:41 minutes)
Musicales 3
(3:10 minutes)
Adaptation pour guitare et violoncelle 
(3:06 minutes)
La célèbre suite avec une variation dans l'introduction 
(1:37 minutes)
Adaptation pour violoncelle, un exercice, ici, après les mains du dieu Bach, les mains du Diable...
Musicales 4
(3:24 minutes)
Un léger parfum d'Asie...
(2:45 minutes)
Une petite promenade pour une amie...
(2:05 minutes)
En écoutant Manuel de Falla
Ce reste à vivre
Ce reste à vivre, cette petite somme de temps où l’air prend subitement un goût, où la cadence du battement du cœur s’étonne encore de la vie. 
 
Un rythme étrange emporte quelques notes pour marquer le pas, alors musique ! Une douce mélodie, un adagio, sans doute celui du concerto No.23 pour piano et orchestre de Mozart, comme une invitation, un instant de bonheur… 

 
a. f. 08.07.2018 
 
Hélène Grimaud - Mozart - Piano Concerto No.23, 2. Adagio.
LIENS
antoine fernandez
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